Toujours en manque d’efficacité…

MOUSCRON 0

TROYES 1

MOUSCRON : Butez (46e Werner) ; Gkalitsios (75e Sarmiento), Godeau (70e Damjanac), De Medina (46e Diedhiou), Gulan(70e Katranis) ; Mbombo (60e Jelavic), Mohamed (64e Bakic), Boya (70e Spahiu), Napoleone (46e Van Durmen), Dione (60e Lukovic); Leye (46e Sambu).

TROYES : Leteiller ; Deplagne, Pele, Fortune, Cordoval ; Salmier, Tavares, Giraudon, Confais ; Bethomier, Marcel.

AVERTISSEMENTS :

LES BUTS : 56e Nivet sur pen. (0-1),

MOUSCRON – En l’absence des internationaux (Vojvoda, Pierrot, Kuzmanovic et Olinga) et des blessés (Dussenne, Amallah, Benson et MArimon) Bernd Storck alignait une équipe pour le moins inédite. Butez dans les buts, le retour de Boya et de Dione et celui de De Medina en défense centrale. Face à ce onze inédit, une formation troyenne qui évoluait encore en Ligue 1 la saison dernière. Le schéma tactique était, lui aussi, inédit avec un 4-3-3 avec Mohamed et Boya en récupérateur et Dione, Leye et Mbombo sur le front de l’attaque. Les Hurlus faisaient bonne figure en début de rencontre et sans être dangereux, ils semblaient maîtriser leur sujet. Mais comme depuis le début de la saison, ces bonnes impressions ne se traduisaient pas au marquoir. Les Mouscronnois se créaient pourtant quelques occasions comme sur ce face-à-face de Mbombo avec le portier visiteur ou sur cette frappe de Dione à l’entrée de la surface de réparation mais le dernier geste manquait de précision. Au retour des vestiaires, Werner, Diedhiou, Van Durmen et Sambu remplaçaient respectivement Butez, De Medina, Napoleone et Leye. A la 55e , Werner commettait une grossière faute sur un attaquant troyen, l’action était logiquement sanctionnée par un penalty. Benjamin Nivet se chargeait de la transformation en prenant le portier mouscronnois à contre-pied. Les changements opérés par le coach des Rouge et Blanc ne changeait rien à la donne. Les Hurlus ne parvenaient toujours pas à trouver le chemin des filets. A dix minutes du terme, les Troyens auraient même pu doubler la mise mais la frappe de l’attaquant était trop croisée et terminait sa course en sortie de but. A cent-vingt secondes du coup de sifflet final, Werner sauvait les meubles sur un tir à bout portant d’un attaquant troyen. Une fois de plus les Mouscronnois devaient s’incliner après avoir montré l’une ou l’autre bonne chose mais en restant toujours aussi inefficaces…

 

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