Les Hurlus stoppés dans leur élan

WAASLAND BEVEREN 2

MOUSCRON 0

WAASLAND – BEVEREN : Jackers; Schoonbaert, Wuytens, Gamboa, Koita (82e Albanese); Tchaha, Bertone, Mandjeck,  Heymans; Frey, Wiegel.

MOUSCRON : Koffi ; Ciranni, Agouzoul, Silvestre, Mohamed; Brym (60e Xadas), Bakic, Hocko, Onana (67e Gnohéré); Badibanga (74e Faraj), Da Costa.

ARBITRE: M. VISSER

AVERTISSEMENTS: Onana, Da Costa, Frey,

LES BUTS: 58e Koita 1-0, 90+3 Frey 2-0.

BEVEREN – Comme on pouvait s’en douter, les deux équipes étaient bien décidées à décrocher les trois points de la victoire au cours de cette rencontre de bas de tableau. Les Hurlus étaient les premiers à mettre le nez à la fenêtre par le biais de Da Costa qui forçait le portier local à concéder le corner. Les joueurs de Beveren réagissaient rapidement par Frey mais sa frappe était trop croisée pour trouver le chemin des filets de Koffi. Brym trouvait le chemin du but quelques minutes plus tard mais il était signalé hors-jeu par le VAR.

Les hommes de Jorge Simao restaient les plus entreprenants et causaient pas mal de soucis aux défenseurs locaux gênés par la vitesse de Brym et de Da Costa. Malgré quelques belles occasions et un but refusé pour un hors-jeu de position de Da Costa, les deux équipes se quittaient dos-à-dos au terme d’une première mi-temps dominée par les Mouscronnois.

Après la pause, les hommes de Jorge Simao restaient dans le même état d’esprit et continuaient de presser très haut le porteur du ballon. Les Waaslandiens parvenaient, de temps à autre, à déstabiliser la bonne organisation mouscronnoise mails il leur manquait toujours un petit quelque chose pour faire la différence. Mais à la 58e minute de jeu, Koita s’offrait une petite promenade dans l’arrière-garde mouscronnoise avant de décocher une frappe imparable. Les Hurlus ne pouvaient s’en prendre qu’à eux-mêmes. Coupables de plusieurs approximations dans l’entrejeu, ils ont offert ce but aux Locaux. Malgré trois changements relativement offensifs, les Hurlus ne parvenaient pas à recoller au score. Au contraire, ils se faisaient surprendre une deuxième fois dans les arrêts de jeu.

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